1. Parce que l’email reste le vecteur le plus efficace de votre contenu
Les chiffres de la dernière enquête du Content Marketing Institute parlent d’eux-mêmes : en B2B comme en B2C, l’email reste le canal roi pour distribuer ses contenus. Et il figurera en bonne place dans l’arsenal des tactiques développées cette année.
La newsletter : votre « jardin clos » à vous
Pourquoi ce choix ? Parce qu’à l’inverse des réseaux sociaux, la newsletter est votre propriété : personne pour décider qui voit ou non votre contenu, vous restreindre l’accès aux données. Ou changer unilatéralement les règles du jeu.
2. Parce que les consommateurs adorent les mails (si, si)
Certains canaux sont nettement plus populaires auprès des générations Y et Z (les réseaux sociaux, la vidéo online), d’autre auprès des seniors (le mailing papier, la publicité print). Mais toutes tranches d’âges confondues, le plus populaire (et de loin), c’est l’email.
Pas (trop) intrusive, facile à personnaliser, la newsletter est donc l’outil n°1 pour fidéliser ses clients.
La newsletter, complémentaire des autres canaux
Et la newsletter y joue un rôle central : les réseaux sociaux permettent de parler à tous les fans, mais pas de cibler les abonnés ou les prospects les plus « chauds ». L’email se révèle donc le parfait complément des autres canaux.
3. Parce que c’est « rentable »
D’après un sondage mené par la société de conseil Ascend2 auprès de décideurs marketing, seuls trois formats de contenu présentent un solde résultats-efforts consentis positif : les posts de blogs, les articles, et les newsletters.
Un constat d’autant plus vrai pour la newsletter qu’on y produit rarement du contenu original. On y relaie le plus souvent ce qui a déjà été réalisé par ailleurs (blog, vidéo, infographie…).
D’après un sondage mené par la société de conseil Ascend2 auprès de décideurs marketing, seuls trois formats de contenu présentent un solde résultats-efforts consentis positif : les posts de blogs, les articles, et les newsletters.
Un constat d’autant plus vrai pour la newsletter qu’on y produit rarement du contenu original. On y relaie le plus souvent ce qui a déjà été réalisé par ailleurs (blog, vidéo, infographie…).
L’essor des newsletters « best of »
De What We’re Reading (une des… 57 newsletters du New York Times) à NexDraft de Dave Pell outre-Atlantique, en passant par Time To Sign Off en France, elles ont séduit des dizaines de milliers de lecteurs en quelques années, le plus souvent par le seul bouche-à-oreille. Une stratégie parfaitement transposable aux newsletters corporate : la start-up Evercontact, par exemple, mitonne à l’attention de sa cible de geek pressés un « Best of the best » qui réunit des « pépites » dénichées sur les sites d’information high-tech… et sur son propre blog.
De What We’re Reading (une des… 57 newsletters du New York Times) à NexDraft de Dave Pell outre-Atlantique, en passant par Time To Sign Off en France, elles ont séduit des dizaines de milliers de lecteurs en quelques années, le plus souvent par le seul bouche-à-oreille. Une stratégie parfaitement transposable aux newsletters corporate : la start-up Evercontact, par exemple, mitonne à l’attention de sa cible de geek pressés un « Best of the best » qui réunit des « pépites » dénichées sur les sites d’information high-tech… et sur son propre blog.
4. Parce que les newsletters touchent des internautes de plus en plus zappeurs
La promesse de ces newsletters : elles fouillent le Web pour en extraire les meilleurs éclairages et informations. Pour que vous n’ayez pas à le faire. Un gain de temps particulièrement apprécié par certaines cibles.
La promesse de ces newsletters : elles fouillent le Web pour en extraire les meilleurs éclairages et informations. Pour que vous n’ayez pas à le faire. Un gain de temps particulièrement apprécié par certaines cibles.
La bonne information, qui vient à eux et qu’ils consomment quand ils ont un moment : c’est précisément ce que permet l’email.
Ultra-pointue sur les questions de financement et les tendances du petit monde de la tech, la newsletter est un modèle de lecture « scannable » : (beaucoup) de texte pour ceux qui souhaitent se plonger dans le sujet, accompagné d’infographies et autres data-visualisation pour ceux qui préfèrent le survoler.
Le poids des mots, le choc des data-viz, en somme. Avec en prime un ton vraiment décalé, qui démontre que les entreprises B2B ne sont pas condamnées à une communication austère.
Pour lire l’article complet d’Adrien Guilleminot.