WSI –WeSimplifyInternet- plus grand réseau d’agences de web marketing au monde avec 1000+ agences dans 80+ pays, vous partage cet article de LesEchosEntrepreneurs, et vous souhaite une Belle Année 2020.
Le montant investi aux Etats-Unis dans les start-up « low » et « no code » a plus que quadruplé en cinq ans, passant de 114 millions de dollars en 2014
à 529 millions en 2019.
Et s'il était possible de ne plus avoir à écrire de lignes de code pour construire des sites Web, des applications mobiles et même des logiciels complexes
? C'est le pari d’un nombre croissant de start-up qui se revendiquent d'un mouvement baptisé « no code ». Alors que les levées de fonds dans le secteur
se multiplient, Webflow, l'une de ses têtes de proue, a organisé une première conférence rassemblant les différents acteurs du secteur il y a trois
semaines à San Francisco. Selon Pitchfork, le montant investi aux Etats-Unis dans ce secteur a plus que quadruplé en 5 ans, passant de 114 millions
de dollars en 2014 à 529 millions en 2019.
Benchmark, CapitalG de Google, Accel Partners… Plusieurs grands fonds de capital-risque de la Silicon Valley commencent à investir. « Nous avons
7 à 8 associés qui regardent les start-up dans ce secteur, il y a un écosystème bourgeonnant », raconte Arun Mathew, l'un des VC d'Accel Partners,
qui a démarré cet été avec un premier tour de table dans Webflow, suivi de deux autres petits investissements depuis.

Surfer sur la vague des API
Après la location à distance de serveurs via Amazon Web Services, puis la vague des API, ces petits bouts de code permettant aux start-up de ne plus avoir
à créer elles-mêmes leurs systèmes de paiements ( Stripe ) ou de messagerie (Twilio), Arun Mathew y voit le dernier exemple d'un ensemble d'outils
permettant aux entrepreneurs « de se concentrer sur leur produit plutôt que des tâches périphériques ».
Avec le « no code », la programmation ne disparaît pas mais devient très visuelle, l'utilisateur déplaçant et glissant des éléments…